Quand mes parents sont venus pour la première fois en Belgique, outre les briquettes, ce qui a le plus étonné ma mère, aura été les églises, qu'elle a d'ailleurs baptisées des "églises du style belge". Ce qui étonne, c'est vrai, c'est cette structure étrange qu'elles ont à Bruxelles, et surtout leur construction en briquette.
Mais bon, à Bruxelles, on en trouve de nombreuse, elles aussi, faites en larges blocs de pierre, et la fois passée à Woluwe, j'ai visité une chapelle gothique très charmante:
La chapelle de Marie la Misérable
Bon, pour une chapelle, c'est bien une chapelle, mais elle évoque une réelle histoire romantique (dans un sens XIXè), ou même bien gothique. L'histoire veut que:
Le supplice de Marie la misérable est évoqué dans un triptyque dans la chapelle, où la lueur lugubre et sombre de l'endroit invite à une véritable contemplation.
Mais bon, à Bruxelles, on en trouve de nombreuse, elles aussi, faites en larges blocs de pierre, et la fois passée à Woluwe, j'ai visité une chapelle gothique très charmante:
La chapelle de Marie la Misérable
Bon, pour une chapelle, c'est bien une chapelle, mais elle évoque une réelle histoire romantique (dans un sens XIXè), ou même bien gothique. L'histoire veut que:
La belle Marie vivant au village de Woluwe au XIVè siècle s'était vouée à l'érémitisme, rejetant ainsi le monde qui l'entoure pour la méditation. Mais son erreur aura été là, car un chevalier décida d'en faire son élu, ce qu'elle refusa. Ne pouvant accepter ce refus, il la jugea pour vol, vagabondage et sorcellerie et la condamna à être enterrée vive et percée d'un pieu. Ce lieu de martyr devint cette chapelle...
Le supplice de Marie la misérable est évoqué dans un triptyque dans la chapelle, où la lueur lugubre et sombre de l'endroit invite à une véritable contemplation.
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